
La pandémie, l’activité physique et les petits enfants
Les effets de la pandémie sont connus et quelques-uns étaient présents dans l’article précédent.
En 2016, Carson V. et al. ont conduit une étude dans 5 pays différents où ils ont trouvé des évidences préliminaires que l’activité physique en bas âge a des bénéfices au niveau du développement cognitif.
Zeng N. et al (2017) ont confirmé cette constatation dans leur étude. 80% des participants ont présenté des changements positifs dans l’apprentissage du langage, la réussite scolaire, l’attention et la mémoire.
Carson, V. et al. (2017) ont trouvé que la stimulation physique en bas âge ne fait pas seulement améliorer le développement moteur et cognitif mais aussi des indicateurs de santé. En plus ils ont trouvé que, malgré les preuves montrant plus de pertinence à partir de 3 ans, les résultats d’une activité physique régulière bien structurée et organisée étaient bénéfiques depuis toujours.
Pedrosa et al. (2021) ont mentionné que la pandémie avait créé des défis complexes pour toute la population. Le télétravail avec les petits enfants n’était pas facile à gérer par les parents et l’anxiété était certainement transmise aux petits enfants. Il est important de diminuer cet impact.
Je suis une passionnée d’éducation et de mouvement. Enseigner prend seulement sens si les participants apprennent. Faire apprendre aux enfants est magique. Les enfants sont toujours intéressés si on sait les motiver pour leurs apprentissages. Pour cela c’est fondamental d’entrer dans leur monde créatif.
Dans ce cadre et en utilisant mes connaissances d’apprentissage transdisciplinaire j’avais créé une brochure pour les parents et pour les éducateurs. L’idée est de faire apprendre aux enfants les couleurs, dans différentes langues, à travers le mouvement.
Habitant au Luxembourg depuis 11 ans je me suis aperçue des difficultés que les enfants trouvent pour avoir plusieurs langues. Il y a des enfants exposés en bas âge à plus de 5 langues. Les parents se sentent perdus et ne savent pas comment ils doivent parler avec leurs enfants.
La consistance va aider l’apprentissage des enfants et c’est pour cela que ce livre peut aider à une acquisition qui était jusqu’à présent compliquée.
Amour et intérêt rendront les apprentissages simples et automatiques.
Depuis l’inactivité liée à la période de la pandémie, tous les moments comptent pour augmenter et motiver les petits enfants pour le mouvement. À commencer par des activités simples à la maison. Faites participer les petits enfants avec vous dans les tâches quotidiennes.
Quand je cuisine, par exemple, et je n’arrive pas à avoir du temps pour jouer avec mes enfants, je les fait participer ou bien à la cuisine ou bien avec des petits jeux où ils doivent bouger. Je vais vous raconter l’activité d’aujourd’hui avec ma petite fille de 18 mois : au moment où je pelais les légumes, je lui donnais des petits morceaux et elle devait marcher trois mètres pour les mettre dans la casserole. Ça lui a pris du temps mais c’était vraiment amusant et elle avait bien marché au final.
Si je fais cet exercice avec mon enfant de 4 ans je vais mettre la casserole de l’autre côté de la maison et je vais lui demander de se déplacer de plusieurs façons.
J’aime bien créer des activités où ils participent et jouent au lieu de les mettre devant un dispositif électronique. Nous rigolons ensemble, ils apprennent, sont actifs et nous passons de bons moments tous ensemble.
Le mouvement est un besoin pour les enfants et est un besoin pour nous. Être bien avec nous-mêmes et avec notre corps. Bouger améliore notre santé physique, psychologique, émotionnelle et sociale.
Il est fondamental d’avoir plus de mouvement (dans les écoles, les maisons relais, aux parcs,...), plus d’alphabétisation motrice et plus d’autonomie.
L’éducation au niveau général va certainement remercier cette mesure et le système de santé aussi.
Les effets de la pandémie sont connus et quelques-uns étaient présents dans l’article précédent.
En 2016, Carson V. et al. ont conduit une étude dans 5 pays différents où ils ont trouvé des évidences préliminaires que l’activité physique en bas âge a des bénéfices au niveau du développement cognitif.
Zeng N. et al (2017) ont confirmé cette constatation dans leur étude. 80% des participants ont présenté des changements positifs dans l’apprentissage du langage, la réussite scolaire, l’attention et la mémoire.
Carson, V. et al. (2017) ont trouvé que la stimulation physique en bas âge ne fait pas seulement améliorer le développement moteur et cognitif mais aussi des indicateurs de santé. En plus ils ont trouvé que, malgré les preuves montrant plus de pertinence à partir de 3 ans, les résultats d’une activité physique régulière bien structurée et organisée étaient bénéfiques depuis toujours.
Pedrosa et al. (2021) ont mentionné que la pandémie avait créé des défis complexes pour toute la population. Le télétravail avec les petits enfants n’était pas facile à gérer par les parents et l’anxiété était certainement transmise aux petits enfants. Il est important de diminuer cet impact.
Je suis une passionnée d’éducation et de mouvement. Enseigner prend seulement sens si les participants apprennent. Faire apprendre aux enfants est magique. Les enfants sont toujours intéressés si on sait les motiver pour leurs apprentissages. Pour cela c’est fondamental d’entrer dans leur monde créatif.
Dans ce cadre et en utilisant mes connaissances d’apprentissage transdisciplinaire j’avais créé une brochure pour les parents et pour les éducateurs. L’idée est de faire apprendre aux enfants les couleurs, dans différentes langues, à travers le mouvement.
Habitant au Luxembourg depuis 11 ans je me suis aperçue des difficultés que les enfants trouvent pour avoir plusieurs langues. Il y a des enfants exposés en bas âge à plus de 5 langues. Les parents se sentent perdus et ne savent pas comment ils doivent parler avec leurs enfants.
La consistance va aider l’apprentissage des enfants et c’est pour cela que ce livre peut aider à une acquisition qui était jusqu’à présent compliquée.
Amour et intérêt rendront les apprentissages simples et automatiques.
Depuis l’inactivité liée à la période de la pandémie, tous les moments comptent pour augmenter et motiver les petits enfants pour le mouvement. À commencer par des activités simples à la maison. Faites participer les petits enfants avec vous dans les tâches quotidiennes.
Quand je cuisine, par exemple, et je n’arrive pas à avoir du temps pour jouer avec mes enfants, je les fait participer ou bien à la cuisine ou bien avec des petits jeux où ils doivent bouger. Je vais vous raconter l’activité d’aujourd’hui avec ma petite fille de 18 mois : au moment où je pelais les légumes, je lui donnais des petits morceaux et elle devait marcher trois mètres pour les mettre dans la casserole. Ça lui a pris du temps mais c’était vraiment amusant et elle avait bien marché au final.
Si je fais cet exercice avec mon enfant de 4 ans je vais mettre la casserole de l’autre côté de la maison et je vais lui demander de se déplacer de plusieurs façons.
J’aime bien créer des activités où ils participent et jouent au lieu de les mettre devant un dispositif électronique. Nous rigolons ensemble, ils apprennent, sont actifs et nous passons de bons moments tous ensemble.
Le mouvement est un besoin pour les enfants et est un besoin pour nous. Être bien avec nous-mêmes et avec notre corps. Bouger améliore notre santé physique, psychologique, émotionnelle et sociale.
Il est fondamental d’avoir plus de mouvement (dans les écoles, les maisons relais, aux parcs,...), plus d’alphabétisation motrice et plus d’autonomie.
L’éducation au niveau général va certainement remercier cette mesure et le système de santé aussi.